CACH – FCC, LE PEUPLE ET LA JUSTICE VONT BIENTÔT TRANCHER.

Par Dominick Xavio Tshimanga

Nous l’avons dit, redit, décrié à casse-gorge, personne parmi ceux qui s’agitent aujourd’hui ne nous a entendus, moins encore compris.

Lorsque nous dénoncions les incohérences qui prêteraient confusion quant à l’interprétation de certains articles de la constitution, la majorité présidentielle de l’époque et le FCC d’aujourd’hui n’a pas voulu l’entendre de cette oreille sachant bien qu’ils avaient taillé la constitution sur mesure pour l’intérêt d’un seul individu qu’ils estimaient éternel.

Rattrapés par leur propre turpitude et l’affaiblissement du pouvoir de leur autorité morale, les kabilistes ont vainement essayé de modifier la constitution aux multiples et fallacieux motifs sans y parvenir car, ayant rencontré la résistance d’une opposition UNIE qui brandissait quant à elle le référendum comme l’unique et seul moyen de toucher à la constitution et cela après les élections présidentielles.

Butés à leur propre piège, le FCC qui veut un forcing, va se heurter contre deux bombes à retardement qui font la force de Félix TSHISEKEDI à savoir : LE PEUPLE et LA JUSTICE TANT NATIONALE QU’INTERNATIONALE.

Il apparaît clairement que le FCC est à la croisée des chemins ne sachant pas à quel saint se vouer.
D’un côté un Felix avec ses clés à mollettes prêt à tout déboulonner, de l’autre côté une autorité morale bien que félin, mais se comportant en bon enfant pour protéger sa richesse et éviter la justice.
D’où, les multiples tentatives de jouer au tout pour tout.

Certes, par respect des engagements pris et par souci d’une promotion de la paix, un recours à la force de la loi en pareilles période ne ferait que bloquer davantage la situation. Mais, il n’est pas à exclure. car contre les forcenés, seule la tolérance zéro conviendrait le mieux.

Par conséquent, il va de l’intérêt du FCC de se comporter dignement pour ne pas être déclencheur de la colère populaire et des poursuites de la justice tant nationale qu’internationale. Ils sont en face d’un chef de l’état et non d’un simple citoyen. L’outrage au chef de l’état est pénalement puni.

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