La guerre de basse intensité et d’usure se poursuit

La guerre de basse intensité se poursuit. Au cours de cette guerre,  »les élections » peuvent être des  »pièges-à-cons ». Les amnésiques y succombent. Ils perdent de vue le rôle de ces  »élections » dans la mise en pratique d’une  »stratégie du chaos et du mensonge ».  »La haine de soi » alimente la politique du  »diviser pour régner » et de l’instrumentalisation de la guerre en tant qu’opération économique rentable, comme dirait Riccardo Petrella. Les relations fraternelles et amicales sont mises à dure épreuve. Les plus fragiles et/ou fragilisées se brisent.  »Les nègres de service » et les tireurs des ficelles tapis dans l’ombre rigolent sous cape.  »Le coup d’Etat » permanent enregistre ses victimes. Le conditionnement intellectuel aussi. Il ne serait pas étonnant que les jours, les mois et les années à venir nous réservent d’amères surprises. Nous avons cru, à tort ou à raison, que d’un processus vicié et vicieux pris dans l’engrenage d’un mensonge systémique pouvait sourdre  »la vérité » sans justice.

Cela après plus de cinq décennies de  »coup d’Etat permanent » !

Dans cet ordre d’idées, ce communiqué (https://chrissmith.house.gov/news/documentsingle.aspx?DocumentID=401698) mérite d’être lu attentivement, na bokebi nyonso, comme on dirait en lingala.

Babanya Kabudi

Génération Lumumba 1961

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